Les Saintes du Nouvel An

LOL n°30

Lolita en mode Antilles ( comme disent les enfants !)

Et voilà, déjà en 2020 !! ah mes amis, que le temps passe vite ! temps passé trépassé je me vis passant ainsi que vous passâtes !

Les Antilles

Ah les Antilles…. Les Antilles… Comment vous dire ? Je crois que trois mots suffisent : c’est bon. Tout simplement bon. Quand on est comme nous, visiteurs de passage, touristes de quelques semaines, que dire d’autres ? Détente, plaisir, douceur, soleil, eau chaude. Oui les Antilles constituent bien une destination enchantée, et notamment lorsqu’on a la chance de les découvrir à la voile. Depuis notre arrivée en Martinique, nous profitons de la douceur du climat, de la beauté des paysages, du plaisir des baignades dans des eaux turquoises et chaudes. Le paradis sur terre ? Oui, sans mentir, on s’y croirait presque.

Lors de notre dernier billet, nous vous avions laissé à Saint-Pierre, la fameuse ville au nord est de la Martinique, intégralement détruite par le volcan de la Montagne Pelée en 1902 (les enfants ont été un peu « traumatisés » par cette histoire tragique, comparable à l’anéantissement de Pompéi, au temps de la Rome antique). Sur place, nous avions naturellement visité les ruines de cet épisode dramatique (visite suite à laquelle Jean, croisant un habitant en train de rénover sa maison, s’était inquiété : « bonjour monsieur, ta maison, elle a été détruite par le volcan ?? »), mais également profité du magnifique marché de la ville, aussi animé que coloré, pour refaire notre avitaillement en produits frais avant de quitter les eaux martiniquaises. Jus de fruits plein de saveurs des îles, douceurs en tout genre (acras de morue, beignets au porc, boudins antillais, miam miam, on se régale). Hervé en profite également pour se faire une belle frayeur en égarant les papiers du bateau, « oubliés » sur le ponton de débarquement de l’annexe, et qu’il retrouvera finalement, après avoir fait en vain le tour de tous les commerçants du marché, de son animateur, et des boutiques alentours, au pieds de l’annexe, mais littéralement parlant, c’est à dire… sous l’eau. La pochette s’était tout simplement envolée pour rejoindre la grande bleue et barbotait donc tranquillement sur le sable blanc, entourée d’une nuée de poissons multicolores… Remarquez, on ne peut pas lui en vouloir : si vous étiez né pochette, auriez-vous sérieusement résisté à la tentation ??

Ouf, après quelques semaines de disettes, le poisson est de retour à bord !

Mais revenons à nos moutons. Après l’île de la Martinique, le « plan » était de partir à la découverte de sa voisine du nord : la Dominique. Mais alors que nous atteignons Roseau, la capitale de cette petite « île – pays » (70 000 habitants au total), nous décidons Caro et moi de poursuivre notre route au nord, afin de gagner sans trop tarder la Guadeloupe, où nous attend un programme chargé ! Nous mouillons finalement en pleine nuit dans la baie de Prince Rupert Bay, au nord de la Dominique, en comptant bien pouvoir trouver le lendemain des moyens de découvrir l’île depuis la petite ville de Portsmouth. Las ! Le lendemain, c’est dimanche, et le gars (Alexis) qui vient nous saluer avec sa barque, nous dit que tout est  fermé, les gens ont trop fait la fête et à moins d’embarquer avec lui moyennant 250 euros, on ne trouverait rien… Le calcul est vite fait : on remet les voiles, direction Marie-Galante située 25 milles plus au nord. La Dominique attendra notre prochain passage, fin janvier !!

A peine le petit déjeuner avalé, on annonce aux enfants que nous remettons les voiles. Vagues protestations « on voulait y aller, en Drominique !  Et puis on ne veut plus naviguer, on veut descendre à terre !». Heureusement les legos permettent d’éteindre bien rapidement ce début de rébellion (que dis-je une mutinerie!).  Quant au refus de naviguer, il faut relativiser : les conditions sont tellement parfaites que même une vache qui n’a jamais mis les pieds sur un bateau ne se rendrait compte de la différence avec son plancher ordinaire ! On se régale de glisser aussi facilement sur l’eau, laissant dans notre sillage la belle Dominique et admirant sur notre bâbord les iles des Saintes et de la Guadeloupe que nous rejoindrons dans quelques jours.

 En quatre petites heures, nous atteignons Marie-Galante, la « galette » comme elle est surnommée ici vue sa forme parfaitement ronde et plate qui rappelle les galettes bretonnes ! Mais pourquoi Marie-Galante, au fait ? Vous voulez vraiment le savoir ? Ok vous l’aurez voulu : Il s’agit simplement de rendre hommage à la chanson de Laurent Voulzy « Belle-ïle en mer, Marie-Galante »… (enfin c’est surtout Caro qui voulait rendre cet hommage). Mais en débarquant sur l’île, on se rend rapidement compte ; même si on n’est pas fan de Voulzy, que Marie-Galante mérite le détour. D’abord parce qu’elle est très peu fréquentée (seulement une poignée de bateaux au mouillage, ça nous change de la Martinique). Et la première plage que nous abordons est réellement paradisiaque… Plage de sable blanc, bordée de cocotiers, baignée par la lumière du soir et le soleil couchant, sur fond de lagon… on se pince pour y croire !

PLage côte Est
Plage côte Ouest

Le lendemain nous louons une voiture pour faire le tour de l’île, visitons la distillerie Bellevue (des rhum à 59°!!!!), nous baignons et pique-niquons sur la plage de Vieux Fort (encore plus exceptionnelle que la précédente), apprenons l’affaire Marie-Galante, écoutons, impressionnés, le récit de la mare au punch (terribles récits remontant au temps de l’esclavage – des esclaves d’une plantation (la plantation Pirogue), s’étant rebellé, avait vidé, dans la mare du domaine, le sucre et le rhum, y avait fait un punch géant, et y avaient brûlé, dans une sorte d’autodaffé expiatoire, les maîtres du domaine…),  visitons la très belle habitation Murat, nous baignons de nouveau…

Lorsque nous regagnons le bord de Lolita, ravis et épuisés, la nuit est déjà bien installée (il fait nuit à 18 heures aux Antilles) et c’est tout juste si nous arrivons à finir notre diner. Jean lui a déjà rejoint sa bannette, Juliette l’imite quelques minutes après, et Pierre-Louis, pour une fois, ne lit pas… Quant aux parents, nous nous endormons dans la relative fraîcheur du cockpit, bien aidés il faut le dire, par la douceur du rhum local… aie aie aie, ça tape !

31 décembre – Réveillon du Nouvel An aux Saintes

Elles sont là : elles nous tendent les bras. Les Saintes. Les fameuses iles des Saintes de Guadeloupe. Un archipel de quelques îles, aussi belles les unes que les autres, haut lieu en son temps de la piraterie et de la flibuste, et théâtres de quelques-uns des plus terribles affrontements entre français et anglais… Bon, les temps ont bien changé… Désormais, c’est le haut lieu du tourisme, une sorte de Porquerolles antillaise, avec pleins de visiteurs, des super yachts dont on se demande quelles tailles de melon peuvent avoir les propriétaires pour en imaginer d’aussi gigantesques (et indécents, pour vous dire  le fond de notre pensée!). Mais rien à faire, ces îles sont trop sublimes pour passer à côté. Nous trouvons heureusement une petit mouillage un peu à l’écart, à l’abri d’un pain de sucre (un rocher en forme de pain de sucre) et d’une toute petite crique – la plage fait quelques dizaines de mètres carrés. C’est dans ce cadre enchanteur que nous clôturons l’année 2019, cette année si particulière pour nous avec la réalisation de ce voyage). Pas de copains ce soir, nous sommes seuls, mais c’est un bonheur de nous retrouver tous les cinq. On trinque ensemble à ce beau voyage que nous vivons, à la chance que nous avons. Jean (encore lui) nous dira : « Avec mon cerveau que j’ai dans ma tête, on voulait dire merci ». On en redemande, des merci du cerveau de Jean ! Et comme le veut la tradition, nous avons sortis de nos coffres des petits trésors qui y dorment depuis notre départ de France : foie gras, saumon fumé, et un sublime gâteau chocolat crème de marrons cuisiné par Caro… Tout à coup les enfants bondissent sur leurs jambes et esquissent des pas de danses, nous rangeons la table et montons le son, et oui ça danse sur Lolita ! Il n’y aura quand même pas de veillée tardive sur Lolita ce soir, malgré la résistance de Pierre-Louis et Caro, les feux s’éteignent avant l’heure.

Les Saintes, ce sont aussi les plaisirs des baignades et des plongées masque et tuba. On en prend véritablement plein les mirettes : le corail est encore en très bon état (pour combien de temps encore), les poissons rivalisent en nombre et en diversité, on se croirait dans un aquarium géant. Pendant que nous plongeons (Pierre-Louis, Caro et moi principalement), Jean et Juliette se livrent à une autre forme de plongée: la plongée en faune nautique. Le principe : faire le tour de tous les bateaux voisins, s’inviter à bord, et si la réponse est positive, tailler le bout de gras avec les occupants.

Pour ce faire ils ont des armes infaillibles : leur sourire naturellement, leur sens de l’apostrophe débonnaire (« eh bonjour monsieur! ») et enfin… le paddle du bord. Cette sorte de planche gonflable qu’on pilote debout avec une rame. La manière dont ils le conduisent, nos deux zouaves de cirque, en crabe, debout ou assis, en s’asticotant sans arrêt, manquant de se renverser tous les trois mètres, fait rire tout le mouillage !

Aux Saintes, nous restons finalement trois jours plein. Il faut dire que les activités ne manquent pas. Outre les baignades et les tours en paddle, il y avait également ! visite du fort de l’îlet Cabris, construction de château de sable, écriture de cartes postales et même construction d’une cabane sur le pont ! Ah, la cabane sur le pont, parlons en : naturellement les enfants veulent y dormir. C’est vrai qu’elle a fière allure, on dirait la tente de Kadafi ! Jean et Pierre-Louis décident d’y passer la nuit. Mais à 4 heures du matin, catastrophe : énorme grain de pluie. Pierre-Louis a eu la sagesse de rentrer un peu avant. Mais Jean lui, se fait copieusement rincer et rentre trempé dans le bateau, comme Caro d’ailleurs, partie illico à la rescousse de son petit (et des draps, cousins, serviettes et victuailles stockées dans la cabane)… Cela nous vaut une bonne partie de rigolade au petit déjeuner le lendemain.

Il nous faudra revenir pour visiter Terre de bas, la voisine de Terre de Haut quelque peu boudée par les voiliers au mouillage. Pourtant ses fonds sous-marins recèlent les plus beaux joyaux de Guadeloupe.

Cabane éphémère sur le pont
Terre de Haut, les Saintes vue de l’Ilet à Cabrit

Jeudi 2 janvier : Pointe à Pitre Souvenirs de Kifouine – L’aventure Des Voiles Pour Passeraile en 2003

Cette arrivée à Pointe à Pitre me ramène 17 ans en arrière, quand j’arrivais avec mes deux copains de Kifouine, Eric et Brice, à la marina du Bas du Fort, au terme de 17 jours de traversée. Nous étions à l’heure au rendez-vous, pour accueillir nos amis handicapés de Passeraile : Morgane, Clémence, Olivier, Adèle et Mélanie, et leurs accompagnateurs. Avec eux, nous avions passé une escale de rêve dans cette île enchantée, un souvenir pour la vie. C’était notre première escale commune avec nos amis handicapés, et j’en garde un souvenir indélébile de joie partagée, d’amitié authentique, de rencontres exceptionnelles. Depuis de l’eau a coulé sous les ponts, on a tous pris un peu d’âge mais je prends le pari que pour ceux et celles qui avaient vécus cette escale (et les autres qui avaient suivi), les étoiles se mettent à briller dans les yeux, et les sourires, à apparaître sur les lèvres, à l’évocation de ces tranches de vie hors du commun.

17 ans après, nous remettons cela ; Dans quelques jours, nous accueillerons de nouveau trois amis handi : Manue, Guillaume et Benoit (qui remplace au pieds levé Clémence qui, en raison d’ennuis de santé, a dû renoncer à ce beau voyage. Nous pensons bien à elle). Ils viendront accompagnés de  Franck et Sarah, et de nos amis Nicolas et Alice ; Alice a véritablement pris en main l’organisation de l’escale, grâce à des amis à elle installés en Guadeloupe (nous en parlerons dans une prochaine news). Bref, il y a de grandes chances pour que la magie opère de nouveau et on se réjouit déjà de leur arrivée (les 7 et 8 janvier, la semaine prochaine!)

En attendant, quand nous amarrons Lolita à la Marina Bas du Fort cela fait presque 3 mois que nous n’avons pas mis l’étrave dans une marina. Avantage : de sérieuses économies, la possibilité de plonger du bateau quand on veut ! Inconvénient : moins pratique pour bricoler ou rincer le bateau ! Alors nous en profitons à fond, briquons Lolita et Lolito sa petite annexe, prenons rdv pour une vérification électrique, et …nous délestons de quelques euros chez le shipchandler du coin (Uship, très sympa) qui nous révisera aussi le moteur électrique de Lolito. Les enfants sont super heureux car ils s’imagine courir sur les pontons et se faire plein d’amis. Le fait est que nous ne les verrons pas pendant 2 jours, ils visitent tous les bateaux du ponton, se font inviter et dessinent à tour de bras pour remercier. J’ai la surprise de retrouver Eric Dumont, ex skipper de course au large, célèbre en son temps pour avoir participé au Vendée Globe ou navigué sous les couleurs du Havre. Il habite désormais aux Antilles sur on bateau un Privilège 42 et se remet difficilement d’une blessure au pied. Les habitués du ponton semblent aux petits soins pour lui. Il nous décrit un hôpital de Pointe à Pitre où l’on a pas très envie de se faire soigner…

Vivons dans la joie

Sur notre bôme il y a un grand auto-collant sur lequel il est écrit « vivons dans la joie ». Cadeau de Yann et Hortense, des amis de Lorient, avant notre départ, il nous rappelle chaque jour à ce principe de base : vivre dans la joie. Attention, il ne s’agit pas d’un ordre impératif ! Ni de donner une leçon, on a horreur de ça. Nous le concevons plutôt comme une invitation : « essayons de vivre dans la joie » et ça nous donne une petite responsabilité. Cette petite phrase a bien des vertus quand on vit sur un bateau en vase clos avec les enfants pour miroir.

Et si, sur Lolita, on passe souvent du rire aux larmes, des cris aux déclarations d’amour, l’essentiel c’est bien l’état d’esprit qui rend ces journées plus belles. Vivre dans la joie c’est une succession de belles petites choses et de comportements qui l’emportent sur les fâcheries, le découragement, les atermoiements ou les bêtises des petits et grands (et j’en passe 😊) Bien sûr c’est plus facile quand on a la chance de vivre au soleil sur un voilier avec une famille en bonne santé. Mais après 5 mois de voyage nous sommes tous les jours en route pour la Joie !

Et ce que l’on aime vraiment, c’est partager notre voyage. En retour, les témoignages sur notre blog, des amis qui nous suivent, sont de vrais cadeaux : je pense au dernier en date, celui de Michel, Mich P’tit Déj, un vrai régal de gentillesse et de bonne humeur. Grâce à Michel, à Jacqueline, à Jean-Louis et Noëlle, à vous tous, nous vivons dans la joie ! Merci !

Voilà, sur ces belles paroles, il est temps de vous souhaiter à chacun et à chacune une bonne et heureuse année. Nous pensons spécialement à ceux qui sont pour le coup dans la peine, peine de cœur, peine d’un proche trop tôt disparu, souci matériel ou financier, souci du travail, inquiétude pour un enfant, pépin de santé, angoisse métaphysique, morosité, dépression, etc. Nous les portons, à notre tout petit niveau, mais très sincèrement, dans nos cœurs, en espérant que le soleil de nos jours puisse les réchauffer, ne serait qu’un instant.

Bonne année les amis !

(et prudence, on en sait jamais)

Panneau de Signalisation à Marie-Galante

15 réflexions sur “Les Saintes du Nouvel An

  1. nolleetjeanlouis

    Quels souvenirs vous ravivez en moi!
    Le super-super yacht sur lequel j’ai fait un séjour d’une semaine aux Saintes (sous prétexte d’en mesurer les fonds) s’appelait Jeanne d’Arc, non pas celle qu’a connue Hervé, mais celle d’avant.
    Et bravo pour votre partage de bonheur avec les amis que vous allez recevoir!
    Bien affectueusement,
    Noëlle et Jean-Louis

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    1. hugdum

      Vous êtes rayonnants et on ressent la chaleur de votre joie quand on vous lit 😊.
      Que cette année 2020 soit pour vous la continuité de ce bonheur que vous nous faites partager !
      Côté voile Eraunsia se voit même avoir un nouveau projet pour 2020 avec PiJo qui se demande si les acores n’ont pas trop changés depuis son dernier passage. Peut être que ce sera sur votre périple retour !?
      Grosses bises à tous les 5.
      Hugues

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      1. Cher Hugues,
        merci pour ton message, nous vous embrassons bien fort ainsi que toute la Eraunsia family et spécialement à Pijo !
        Nous passerons par les Açores au retour bien sûr et devrions rester 2 mois en juin/juillet. On essaie même d’organiser une escale de la Mer en Solidaire là bas ! Plein de bises de Gwada.

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  2. Colette Bernard

    Grand merci de nous avoir amenés avec vous jusqu’aux Antilles, chers Hervé et Caroline 🚀 ! Quelles merveilles toutes vos photos et votre récit, je rêve ! Je vois que 2020 a bien commencé et que l’invitation à la joie fait son plein emploi. Gardez-la bien avec vous, ça aide bien, je vous embrasse, tous les cinq, de tout mon cœur xxx Colette

    Envoyé de mon iPhone

    >

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  3. Guillaume S ( le marin qui souri)

    salut les amis

    je suis ravie de vous lire et vous voir la semaine prochain. Même en étant un stressé par mes problème de transite en voyage…. j’ai comme vous le dites si bien le sourire au lèvres et jusqu’au oreilles et les étoiles pleins les yeux en pensant à nos retrouvaille de mercredi ou jeudi (vue la durée du vol)

    j’ai pas pu mettre la ceinture pour nager dans l’eau turquoise, dons a part si la pocher du bateau peut servir de flotteur on en achètera sur place….

    a très vite pour boire du rhum a 60 %
    becot a vous tous
    guigui

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  4. Coucou les amis !
    C’est une vraie joie de vous suivre pendant cette aventure qui fait remonter bien des souvenirs.
    Tout l’équipage de Chintouna vous souhaite une magnifique année 2020 !
    Que ces moments précieux de ce voyage vous accompagnent le plus longtemps possible !
    On vous embrasse et on attend la suite avec impatience !
    Profitez bien
    Sonia, Brice, Awen et Arthur

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    1. Salut les amis !
      Ah oui, on a oublié de vous dire que nous avons ouvert le dernier cadeau (celui du Nouvel An) ! Un calendrier, chouette, il est en bonne place près de la table à carte. Gros bisous et belle année à vous 4. Celle où tu retrouves tes beaux cheveux et définitivement la santé ! PLein de Bises de tout l’équipage

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  5. Nicole Rapegno

    17 ans après on pense toujours à ce merveilleux moment que vous avez fait vivre à Morgane et aux autres …
    Votre blog, nous rappelle cette belle aventure des voiles pour Passeraile … Toujours le plaisir de partager avec ceux qui restent à terre…
    Nous vous souhaitons bon vent pour cette année 2020 et plein de belles choses
    Nicole

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  6. Véro M

    Bonjour les amis !!!
    Mille mercis de ces aventures partagées ! On ne se lasse pas de vous lire !!
    La famille se joint à moi pour vous souhaiter une très belle et riche année 2020 et de continuer à profiter de cette incroyable expérience !
    Bisous
    Véro & famille

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  7. Belle et douce année à la belle Olaventure Family !
    Que de Bonheur à vous suivre et de voir que vous profitez pleinement de cette année exceptionnelle et forte en belles émotions. Vos sourires, vos joies sont contagieux. Merci et au plaisir de vous rencontrer à votre retour sur la terre ferme de métropole.
    Chaleureusement,

    La VeLove Family

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  8. Leger Stéphanie

    Bonjour Caroline et sa famille !
    Votre voyage est merveilleux ! De notre côté nous revenons de Guadeloupe (15 jours de vacances en famille). Nous nous sommes régalés tout comme comme vous, entre les randonnées, les plongées dans une eau chaude et transparente et le farniente sur les plages de sable fin, le tout dans une super ambiance familiale à 11 avec un petit loup de 17 mois ! Le grand bonheur…
    C’est vraiment dommage on aurait pu vous retrouver aux Saintes où nous étions le 27 décembre.
    Profitez bien, à partir de maintenant je vous suis ! Très belle année sur le thème du voyage et de la découverte
    Bises
    Stéphanie et Bruno Léger

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    1. Bonjour Stéphanie et Bruno
      et un grand merci pour ce message et de suivre notre aventure.
      J’imagine combien se séjour en famille a dû vous combler !
      Ici en Guadeloupe nous goûtons aussi une belle escale que nous raconterons bientôt.
      A bientôt !
      Amicalement
      Caroline

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